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accueil albums vidos biographie concerts actualit photos pro/contact - chanteuse maloya la reunion christinesalem.fr , maloya de la runion la discographie de christinesalem.fr lambousir, salem tradition, fanm, kri... les albums de dd nouvel album sortie réunion le 6 novembre 2015 sortie métropole le 5 février 2016 un album réalisé par seb martel parfois, un artiste fait ce qu’il veut. dans l’histoire de la musique, cela donne des albums solo venant après une vie de groupe, des échappées acoustiques, des expériences autarciques, des moments d’apesanteur. chez , c’est larg pa lo kor . « j’avais envie d’aller au bout de mes envies » , avoue-t-elle avec une limpide sincérité. cette envie de ses envies, c’était par exemple de composer à la guitare ou au piano, d’aller vers le blues, la chanson, la parole, la mélodie, l’harmonie. de laisser derrière elle toute habitude, tout devoir, toute obligation. pourtant, elle est une des voix les plus reconnues du maloya de la réunion, une musicienne qui souligne avec une vigueur saisissante les racines malgaches ou comoriennes de sa culture. et, pour son sixième album, elle a voulu travailler autrement. « je n’ai pas de « vraie » formation musicale, je ne sais pas lire la musique, je joue d’oreille. et, quand on reste dans la tradition, on respecte instinctivement un certain nombre de choses. alors, quand mes musiciens – qui connaissent beaucoup mieux la musique que moi – me disaient « d’habitude, on ne joue pas ça comme ça », je leur disais : « non, on ne retourne pas là-bas, on reste ici ! » cet « ici » tout neuf de est une musique à la fois enracinée et libre, aussi intérieure que généreuse, résolument ouverte et sereinement idiosyncrasique. discographie tv de christinesalem.fr les videos, les clips de suivez-mon actu sur vimeo - chanteuse maloya de la reunion christinesalem.fr le maloya en toile de fond, est une chanteuse originaire de la runion. parfois, un artiste fait ce qu’il veut. dans l’histoire de la musique, cela donne des albums solo venant après une vie de groupe, des échappées acoustiques, des expériences autarciques, des moments d’apesanteur. chez , c’est larg pa lo kor . « j’avais envie d’aller au bout de mes envies » , avoue-t-elle avec une limpide sincérité. cette envie de ses envies, c’était par exemple de composer à la guitare ou au piano, d’aller vers le blues, la chanson, la parole, la mélodie, l’harmonie. de laisser derrière elle toute habitude, tout devoir, toute obligation. pourtant, elle est une des voix les plus reconnues du maloya de la réunion, une musicienne qui souligne avec une vigueur saisissante les racines malgaches ou comoriennes de sa culture. et, pour son sixième album, elle a voulu travailler autrement. « je n’ai pas de « vraie » formation musicale, je ne sais pas lire la musique, je joue d’oreille. et, quand on reste dans la tradition, on respecte instinctivement un certain nombre de choses. alors, quand mes musiciens – qui connaissent beaucoup mieux la musique que moi – me disaient « d’habitude, on ne joue pas ça comme ça », je leur disais : « non, on ne retourne pas là-bas, on reste ici ! » cet « ici » tout neuf de est une musique à la fois enracinée et libre, aussi intérieure que généreuse, résolument ouverte et sereinement idiosyncrasique. larg pa lo kor porte dans son histoire les traces de beaucoup de rencontres de . déjà, son histoire d’amitié et de musique avec moriarty. elle avait connu thomas, l’harmoniciste du groupe américano-parisien, lorsqu’il avait été régisseur d’une tournée de salem tradition, alors dans ses premières années. le lien s’est maintenu, qui a amené moriarty à la réunion et à des collaborations variées – et maintenant rosemary standley qui vint poser sa voix sur plusieurs titres. c’est d’ailleurs par moriarty que christine a rencontré seb martel, musicien d’exception aux horizons immenses. il a été guitariste de m, camille, salif keita, bumcello, femi kuti, general elektriks, las ondas marteles, et son carnet d’adresses s’étend de la variété à maintes avant-gardes. « il est immédiatement rentré dans le maloya », note christine, qui a trouvé en lui un compagnon d’aventure complet : seb joue de la guitare, de la basse et réalise l’album. la greffe martel prend aussi très facilement avec les deux percussionnistes qui travaillent habituellement avec christine, david abrousse et harry perigone. et, dès le départ, les amarres sont larguées. par exemple, christine n’explique pas les rythmes qu’elle souhaite entendre sur ses compositions en jouant du kayamb, mais au piano. « ça a surpris david et harry, mais ça les a aussi libérés. » ayant décidé de se consacrer uniquement à la musique, a abandonné son travail salarié d’accompagnement social en 2012. désormais, la musique ne doit pas se faufiler entre vacances et congés sans soldes, et elle poursuit plus sereinement le chemin amorcé très tôt – désir de musique à huit ans, première guitare à treize ans, apprise avec les musiciens du voisinage. aujourd’hui, elle constate qu’elle joue « un peu de tous les instruments, d’instinct » mais, pour la première fois, pose sa guitare sur tout un album et se prépare à le faire sur scène. elle laisse venir calmement son album… certains titres avaient été commencés il y a une dizaine d’années, d’autres jaillissent de la transe, pendant les cérémonies kabar ou certains concerts. la seule contrainte qu’elle s’impose est de n’en avoir pas. dada , qui raconte le hiv vu par les yeux d’un enfant, vient d’un concert pendant la journée internationale contre le sida. mandela a déjà été joué en afrique du sud, où christine a été bouleversée par l’accueil fait à sa chanson. la chanson mi larg pa lo kor a été travaillée avec moriarty… ce n’est pas seulement dans sa genèse que cet album est serein. n’a plus les mêmes intentions rugueuses que dans certains albums précédents. il est vrai qu’elle sait la valeur et l’ampleur du chemin accompli depuis son premier enregistrement, en 2001. « j’étais déjà en colère parce qu’on nous parlait de nos ancêtres les gaulois. puis on m’a dit : « tu n’iras pas loin avec le maloya. » nous sommes allés aux états-unis. le new york times nous a classés parmi les dix meilleurs concerts de l’année. » en deux ans, elle a donné plus de cent concerts à travers le monde, de l’afrique du sud à la pologne, des comores à l’australie, du mozambique au canada… oui, elle a passé un cap, qui l’a libérée : « je n’ai plus besoin de montrer, de démontrer. » que la tracée élue par soit aussi surprenante et familière à la fois ne doit pas surprendre. en abolissant la routine, la redite, le retour sur ses pas, elle s’invente une liberté. une liberté radieuse, solennelle, juste. une liberté conquérante, nourrie de ses recherches spirituelles autant que de son parcours de musicienne. une liberté tendue vers l’autre, une liberté de partage et de ferveur. en concert et tourne christinesalem.fr est une artiste reconnue l'international. retrouvez la liste de ses concerts. les news de - suivez moi sur instagram et facebook christinesalem.fr les concerts, les tournes, les albums et l'actualit de la chanteuse de maloya . les photos de christinesalem.fr en studio avec moriarty, du live et des photos indites de . management - records - booking de christinesalem.fr contactez , chanteuse maloya de la runion la presse parle de larg pa lo kor « le maloya de est vif, violent et exaltant à la manière d’un vent de mer qui jetterait par paquets ses embruns à la face du ciel. » les inrocks, fev 2016 « ce disque somptueux souligne la matrice commune entre soul, blues et maloya. » liberation fev 2016 « les thèmes mélodiques sont forts (mandela, bondié...), et les choeurs apportent un supplément de douceur à cet univers folk follement séduisant. on aime beaucoup. » telerama mars 2016 « avec larg pa lo kor, la voix grave et puissante de , comme sortie de terre, porte ce message d’espoir d’un monde meilleur envers et contre tout. (…) nous, on vote pour larg pa lo kor et on l'écoute en boucle. »